Dans cet article, nous vous proposons ce sujet qui est lié à un fait divers survenu dans un hôpital public, durant une nuit au printemps 2021.
1. Un fait divers cocasse et coquin
L’écran se trouvant dans la salle d’attente des urgences d’un hôpital a diffusé durant 20 minutes environ un film à caractère pornographique devant plusieurs patients.
Il s’avère que cela n’était pas un acte de malveillance mais dû à un changement de “filtres de programmation” effectué par la société privée gérant les écrans de l’établissement public.
Tout cela illustre l’un des risques que peut engendrer une perte de vigilance sur son flux d’informations.
Or, la communication est un enjeu crucial de crédibilité pour les praticiens envers les patients que cela soit dans une salle d’attente, via le site web de son cabinet ou à travers les échanges d’une application mobile dédiée à sa patientèle.
2. Comment cet incident a-t-il pu se produire ?
Cet incident a permis de découvrir qu’un prestataire externe était en charge à 100 % du programme de diffusion de contenus vidéo en salle d’attente.
Lorsqu’on ne maîtrise pas la communication de son cabinet médical ou de son établissement de santé, les praticiens peuvent s’exposer à deux problématiques :
– La diffusion d’un contenu non pertinent, comme la météorologie, une chaîne d’information ou encore dans ce cas malheureux du contenu pornographique, car le prestataire externe est étranger au monde médical. Il ne peut pas comprendre l’intérêt de faire de l’éducation thérapeutique ou d’informer sur les compétences des praticiens.
– La diffusion d’un contenu pertinent, mais entrecoupé d’annonces publicitaires extérieures. Une publicité sur un shampooing pour cheveux cassants n’a rien à faire au milieu d’informations sur l’esthétique du sourire ou un traitement laser en ophtalmologie. C’est pourtant le choix que font certaines sociétés en charge de la communication de cabinets médicaux.
La diffusion de programmes extérieurs « parasites » expose également au piratage de ces mêmes flux externes, injectés par les prestataires pour gagner de l’argent par la publicité.
3. Quelles solutions pour maîtriser correctement sa communication ?
Communiquer efficacement dans sa salle d’attente, c’est être maître du contenu de la diffusion de son flux vidéo.
Il faut refuser tout annonceur tiers, parfois présenté habilement comme du « contenu de distraction des patients ».
Le temps d’écoute et de disponibilité du patient dans la salle d’attente est précieux, et distraire les patients est une fausse bonne idée. Mieux vaut leur diffuser du contenu qui leur sera utile et de qualité.
Seuls deux prestataires sur le marché sont totalement indépendants d’annonceurs, DigiDocteur en fait partie grâce à ses fonctionnalités innovantes !
Il faut également avoir la possibilité de choisir 100 % de son contenu vidéo, de l’adapter à sa patientèle, et de l’adapter au jour de consultation de la semaine avec un agenda de diffusion par playlists.
4/ Notre engagement chez DigiDocteur
DigiDocteur répond à l’ensemble de ces problématiques et permet de tester gratuitement ses services, y compris dans les services hospitaliers qui utiliseraient pour l’instant des prestataires externes aux tendances coquines… .
Les salles d’attente deviennent des relais essentiels d’information lorsque les contenus sont de qualité et choisis avec soin pour s’adapter à sa patientèle.
Nous demeurons des praticiens au service et à l’écoute de nos consœurs et confrères.
Bien confraternellement,
L’équipe de DigiDocteur.